Wednesday, December 31, 2014

Téléchargement Gratuit La Mort d'Ivan Illitch, suivi de Maître et serviteur et de Trois morts, by Léon Tolstoï

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La Mort d'Ivan Illitch, suivi de Maître et serviteur et de Trois morts, by Léon Tolstoï

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La Mort d'Ivan Illitch, suivi de Maître et serviteur et de Trois morts, by Léon Tolstoï

Détails sur le produit

Poche: 224 pages

Editeur : Le Livre de Poche; Édition : N°3958; Librairie Générale Française (LGF) 1987 (1976)

Collection : Classiques

Langue : Français

ISBN-10: 2253001775

ISBN-13: 978-2253001775

Dimensions du produit:

10,9 x 1,3 x 17,5 cm

Moyenne des commentaires client :

3.3 étoiles sur 5

10 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

14.958 en Livres anglais et étrangers (Voir les 100 premiers en Livres anglais et étrangers)

Une évasion dans la société russe du 19ème siècle demeure toujours un plaisir. Ce petit livre ne déroge pas à la règle. L'introspection morale des protagonistes est terrifiante de réalité.

de la torture psychologique. Nul en 3D a part une seule nouvelle courte

c'est surtout la deuxième nouvelle qui m'a le plus plu. Maître et serviteur. Le froid qui prend possession peu à peu des corps, l'engourdissement. On se sent proche de ces deux êtres perdus au coeur de la plaine enneigée et froide. Le trio cheval et hommes est un concentré de relations très fortes au sein de la tourmente. Etonnant que personne n'en ait vraiment fait mention. La nouvelle qui donne le titre n'est point mauvaise, cependant elle un peu plus conventionnelle et très Tolstoïenne. Un livre court qui se lit très agréablement malgré la profondeur du sujet abordé. En revanche pour ma part je trouve que la mort de Jean Valjean dans les misérables fait elle aussi partie des must de la littérature. Ce sentiment de la fin et du devoir accompli est merveilleusement rendu par Hugo.

Un chef d'oeuvre sur la nature humaine et ses rapports avec la peur de la mort.

Un livre à lire absolument, parmi les références de son auteur. On relira la Mort d'Ivan Illitch sans se lasser.

Un magistrat ordinaire, confronté à la maladie, douloureuse et invalidante, va être amené à dépasser le conformisme confortable qui a jusque là guidé ses actes et à réaliser l'égoïsme, l'hypocrisie et la lâcheté de ses proches confrontés à une maladie qui les dérange.Un thème réaliste abordé avec la sensibilité de Tolstoï, très attaché aux moujiks, et qui fait du valet Guérassime le seul être fidèle et dévoué à son maître jusqu'à la fin, rédemptrice, elle aussi dans la lignée de la conception tolstoïenne de l'existence.Au delà des particularismes du grand auteur, ce classique nous propose de quoi méditer sur ce qui nous pousse en avant, nos rapports aux autres et à la mort.Maître et serviteurUn riche marchand ne veut pas rater une affaire et part en hiver sur les routes malgré le blizzard, accompagné de son serviteur, Nikita.Apparemment à l'époque les chemins étaient dangereux l'hiver, j'avais déjà lu ça dans "Carnets d'un jeune médecin" de Boulgakov, le froid terrible, la neige qui égare, et éventuellement les loups, et voilà les deux héros bloqués au milieu de nulle part en pleine nuit, à deux doigts de la mort.Et le riche marchand qui ne pensait qu'à ses affaires va trouver la rédemption: très tolstoïen.Tolstoïen également le style, impeccable, atmosphère très bien rendue avec des rebondissements et du suspense.Un recueil axé sur le thème de la mort qui est une véritable ode à la gloire du petit peuple russe.

3 Nouvelles, 3 Tolstoïstory pour le prix d'une. C'est pas mal, ça sent le 19ème siècle, la troisième est pas terrible, les deux premières sont chouettes, je n'ai pas non plus était ébahi, la deuxième a une ambiance bal des vampires, le froid, le traîneau, la neige. Bon moment de lecture, mais Fiodor Dostoïevski m'avait plus impressionné en son temps, là je trouve que Léon y va tranquille sans trop forcer son talent. Recommandable pour appréhender la littérature russe sans se taper 1000 pages d'un coup

Trois nouvelles de Tolstoï, regroupées au bénéfice du thème commun qu'est la mort, la première et la plus connue n'étant pas forcément pour autant la meilleure...Si le climat de ces nouvelles n'est évidemment pas réjouissant, il n'est pas non plus morbide.Tolstoï y souligne plutôt le caractère inexorable de la mort et, partant, la nécessité d'une espèce d'acceptation. Alors s'ouvre un possible qui varie bien sûr selon les uns ou les autres : Ivan Illitch devra être sauvé du « comme il faut », le Maitre de son égoïsme (le Serviteur qui lui n'en pas besoin ne mourra donc pas). La Maitresse ne « bougera pas » alors que le vieux Fédor donnera ses bottes à l'image de la nature, c'est-à -dire de l'ordre des choses, où l'arbre accepte de mourir et donne son bois...Ce n'est pas spécialement plaisant mais très russe; surtout, très Tolstoï !

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Monday, December 1, 2014

Télécharger Le Sourire d'Homère, by Jean Soler

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Le Sourire d'Homère, by Jean Soler

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Le Sourire d'Homère, by Jean Soler

Détails sur le produit

Broché: 236 pages

Editeur : Editions de Fallois (24 septembre 2014)

Collection : FALL.LITT. 1AN

Langue : Français

ISBN-10: 2877068765

ISBN-13: 978-2877068765

Dimensions du produit:

14 x 2 x 22 cm

Moyenne des commentaires client :

4.5 étoiles sur 5

2 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

363.381 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Je n'ai pas tout de suite était séduit par le "Sourire d'Homère". Les idées et les chapitres s'enchainent sans que l'on comprenne exaxtement où l'auteur veut nous emmener. Le texte n'est pas ardu, le style est simple, mais il manque juste un peu de pédagogie pour introduire les idées. Ce défaut mis à part, l'auteur nous donne beaucoup de clés pour comprendre l'oeuvre d'Homère et son époque. Un éclairage qui nous permet de comprendre à nous lecteur du XXème siècle la richesseet la beauté inouïe de l'Illiade et l'Odyssée écrits il y a plus de 2 700 ans !!!

Lettre imaginaire d'un lecteur ébloui à Jean Solerpour son essai « Le sourire d'Homère »Editions de Fallois – 2014*****************************Monsieur SOLER,J'ai eu d'emblée avec « Le sourire d'Homère » un contact aisé et gratifiant.Le mérite en revient au parti pris de clarté et d'intelligibilité qui est le vôtre à tout instant :vous rendez accessible la complexité, vous balisez le chemin sans renoncer à la richessefoisonnante du parcours, on vous suit en confiance et l'on n'est pas déçu, car à aucunmoment l'on ne se sent distancé par quelque tentation d'académisme.Ce livre est une symphonie, une ode, un hymne, un voyage. Un voyage au bout de la clarté,vers les multiples pays du coeur et de l'esprit, où se fondent et se confondent, se répondent etcorrespondent, dans une lumineuse et profonde unité, au fil d'un dialogue que l'on sent delongue date familier, l'univers d'Homère et votre vision du monde.Cette Weltanschauung, à la découverte de laquelle vous nous conviez à l'occasion sanspareille d'Homère, est faite de connaissances innombrables et sûres devenues culture,d'intelligence en éveil, d'humanisme et de tolérance chevillés à l'âme, d'équilibre et demesure, de modestie sans doute, mais tout autant de courage et de conviction irréductibles,d'humour aussi, de gaieté, de jubilation, en un mot de cette jeunesse qui ne passe pas, celledes sentiments immémoriaux que l'on porte en soi, éprouvés dès l'enfance et celle des idéesque l'on a forgées sur la durée.D'une part vous nous donnez à voir, à découvrir bien des choses insoupçonnées et d'autrepart vous nous invitez à redéfinir, à vérifier et mettre à l'épreuve bien d'autres choses encore,que l'on croyait signifiantes, suffisantes et claires. Vous désignez avec simplicité l'essentiel,on comprend vite et plus avant grâce à vous, on approfondit sans douleur, sans halo demystère, sans ambages, sans encombre et sans fard.Ainsi en est-il de ces notions aux noms simples, mais riches de sens, de ces dispositions etaspirations, de ces quêtes et conquêtes que sont l'«amour de la vie» et la «clairvoyance»,que vous illustrez et commentez, associant à l'un la belle joie de vivre, la plénitude du corps,la jeunesse et l'insouciance, à l'autre l'effort, la volonté, le courage et l'ascèse, indispensablespour venir à bout de la gangue qui recouvre nos mots et modes de pensée… Ainsi du destin,si proche du hasard et dont la soumission qu'il nous impose parfois - la seule inéluctable -une fois acceptée, suffit à nous rendre libres et sages... Ainsi du «sourire» de l'aède, de ladérision, de la distance ironique ou du rire éclatant des dieux, ainsi de l'honneur, de la guerreet de ses lois implacables, du courage des combattants, de la solidarité nécessaire, del'hospitalité et des codes sociaux… Ainsi de l'amour et de ses trahisons, de la tendresseaussi, de la fidélité... Ainsi du «merveilleux», au nom presque trop doux, que l'on pensaitn'appartenir qu'à la littérature et qui soudain, grâce à vous, s'étend aux religions qu'il faitsiennes, les «englobe» et les humanise en les déconstruisant...Votre texte, à la fois ciselé et transparent, fourmille d'une part de références fortes et denses,dont certaines – pourtant connues - prennent un sens nouveau, comme le splendide «champdu possible» de Pindare et d'autre part de formulations personnelles qui sonnent comme dessentences que l'on adopte sans appel : « La clairvoyance fait comprendre que laclairvoyance ne suffit pas » ou bien « Si l'on ne voit pas le sourire d'Homère, ce n'est pasHomère qu'on voit».Je vous plagierais ici volontiers : «Si l'on ne voit pas la lucidité de Jean SOLER, ce n'est pasJean SOLER qu'on voit», où l'on pourrait remplacer «lucidité» par «conviction» ou par«courage».Les constats que vous faites en effet «chemin faisant», dans «Le sourire d'Homère», de lavision du monde des anciens Hébreux, en contrepoint des apports civilisationnels de laGrèce antique, sont incisifs et décisifs. Sans concession ni compromis, sans faiblesse nirenoncement.Je voudrais aussi vous dire le charme qu'opère la traduction que vous nous donnez desnombreuses et longues citations de l'Iliade et de l'Odyssée que vous avez retenues, en formed'anthologie en effet.A l'évidence, c'est un plaisir et une utile leçon magistrale que d'être guidé par cettealternance méthodique du texte homérique et de vos commentaires afférents, agrémentéssouvent des vocables grecs originaux, univoques ou présentés dans leur polysémie. C'estaussi un plaisir de pouvoir lire la langue d'aujourd'hui, au lieu de subir les termes désuetsque l'on s'évertuait à préférer par le passé, car ce choix abolit la distance des siècles : Zeus,Héra , Achille, Ulysse, Circé, Calypso, Nausicaa, Démodocos, les stentors-fiers à bras, lescruelles, les fougueux, les roués, les grandes tentatrices, le prude amour manqué et lesaèdes, aveugles clairvoyants, font plus sûrement irruption dans notre temps.Mais il y a davantage encore : je veux parler du rythme et du chant de cette prose, doucedans les moments heureux ou vive comme un cri dans l'ardeur des combats, tendre oucompatissante avec les enfants et les vieillards. De ces innombrables passages où lesgroupes de mots, assemblés par unité de sens, deviennent alexandrins ou hémistiches,réalisant l'accord parfait avec l'hexamètre dactylique initial.C'est une mélodie aux tonalités illimitées : on se laisse porter par sa douceur ou emporterpar sa fougue, au gré des récits et des comparaisons que vous avez choisies pour nous dansle foisonnement du texte original. C'est une réussite rythmique, un travail de musicien, demagicien des mots … Les exemples en sont multiples : je retiens en particulier le passageoù le sage Nestor, s'adressant à Agamemnon devant le Conseil, parvient à le convaincre derendre Briséis, sa captive, à Achille : la solennité du discours est magnifiée - en français etc'est là toute la performance - par cette succession ininterrompue de neuf alexandrins.Et puis il y a les choix que vous avez faits pour nous parmi ces milliers et ces milliers devers, pour nous présenter la Nature, telle que perçue en ces temps homériques : celle dumonde sensible - la mer, les vents, l'ombre, la lumière - et celle des hommes - violente outendre, obtuse ou raffinée, brute ou civilisée, jusqu'à la conversion (terme inapproprié), lacatharsis peut-être, vous dites l'«évolution» d'Achille vers plus d'humanité...Et la Sur-Nature bien sûr, le monde des dieux que vous définissez comme l'idéal humainmagnifié, vous dites « amplifié», nous aidant, par cette définition accessible et parlante, àcerner le sens profond du mythe et sa constante interaction avec le réel … Ce doublemouvement entre deux mondes qui ne font qu'un n'est pas a priori aisé à cerner. Vous lerendez palpable.Dans le même esprit, l'autre concept très éclairant est celui de la «double causalité»,humaine et divine, dont vous donnez plusieurs illustrations. Dualité complémentaire et nonexclusive ... Méta-physique qui s'ignore et physique balbutiante réunies au sein d'une mêmecondition mortelle exempte de tout désespoir, sinon de toute souffrance. Fatalité acceptée.Sagesse acquise, liberté proclamée …Un mot aussi sur le vif intérêt que présente votre analyse du « jeu » omniprésent, surl'originalité de cette idée fédératrice née de votre intuition et dont vous nous donnez nombred'illustrations belles et convaincantes : jeu littéraire primordial du poète-démiurge,combinant les couleurs, les formes et les sons pour donner vie concrète et crédibilité àl'action qu'il met en scène, jeux essentiels de l'enfant décryptant en s'amusant les codes ducomprendre et du vivre, jeux du stade initiant les athlètes à l'effort et à l'honneur dans unesprit de concurrence loyale, jeux rhétoriques, joutes oratoires, débats minutieux jetant lesbases de la démocratie, jeux de l'amour, découverte de l'autre, cet alter pas tout à fait ego,jeux partisans d'alliances et de connivences des dieux s'invitant sans risquer leur vie auxcombats acharnés des mortels, tant il est vrai qu'un jour naquit l'ennui de ... l'immortalité!Dans le registre de l'aède démiurge évoqué à l'instant, où l'ombre, la lumière et les couleursont une forte prégnance et une fonction littéraire (artistique, philosophique) précise, je penseau peintre contemporain Pierre SOULAGES, qui affirme ne s'intéresser au noir que pour lalumière qu'il révèle. Il nous dit aussi - et ce n'est pas seulement une boutade, c'est aussi pouren souligner la primauté - que le noir est la première des couleurs de notre vie, couleuressentielle au sens propre, couleur consubstantielle de l'être, car nous y sommes plongés,dans la préexistence du ventre maternel, avant même de naître...Le noir est souvent mentionné chez Homère et n'y a pas non plus, me semble-t-il, unefonction seulement négative …Autre chose encore, autre idée-force, véritable pépite chère aux esprits libres : « Ne rienprendre tout à fait au sérieux. Même pas les dieux. ».Homère nous le dit avec votre humour : rien tout à fait, c'est tout un peu.... Tout prendreavec un peu de distance, au moins un peu et même le plus possible de distance... Cela nes'appelle pas encore ainsi, mais c'est bien le refus de l'absolu et de l'absolutisme. Pas dedétenteur de savoir exclusif, pas de vérité indiscutable … La vérité s'élabore dans la relationavec d'autres que soi. La vérité est relative …Le scepticisme de Montaigne, affirmant avec Dante préférer le doute aux certitudes et auxsavoirs accumulés sans esprit critique, me plaît depuis toujours infiniment, mais - pour ledire avec les mots d'aujourd'hui - le caractère que vous qualifiez d'«enjoué » du scepticismeantique lui donne plus d'attrait encore… Cette posture hédoniste, exempte de complaisancemorbide aux angoisses existentielles, a vraiment de quoi séduire.Un dernier coup de coeur : l'idée géniale d'Homère de permettre à son héros Ulysse d'entreren contact avec les morts, lui ouvrant les portes de l'Hadès, lui donnant de rencontrer samère et Achille et de leur parler … offrant par là-même à ses auditeurs et à ses lecteurs unevisite instructive de l'au-delà …Ce saut hors du temps et de tout repère, dans un mondeéteint, dans le néant des êtres désormais privés de sens, ces dialogues d'outre-tombeempreints de nostalgie et libres de terreur sont, plus encore quand on sait que le désir devivre et la joie seront les derniers mots de l'épopée, de véritables joyaux.Merci de les avoir à votre tour offerts à vos lecteurs.Et puis, il y a tant encore dans ce livre...Ses chapitres ne sont-ils pas semblables à des Chants ?Je m'autorise une autre parenté probable, plus personnelle : l'auteur n'a-t-il pas vécu sonIliade, tout au long du combat de sa vie, mené souvent bien loin de sa patrie, contrel'oppression de la pensée unique ?Et ne vit-il pas son Odyssée, avec le retour qu'il opère dans ce nouvel ouvrage vers la penséegrecque archétypique, modèle de ses études et de ses fascinations premières ?Pour terminer ce long courrier imaginaire, permettez-moi de reprendre vos conclusions,pour vous dire que je les fais miennes sans réserve, mais aussi pour les recommander,comme si j'en avais le pouvoir, après vous et avec vous, à tous les hommes d'aujourd'hui.- Apprendre avec Homère à « penser et vivre un peu autrement », telle est laconclusion du «Sourire d'Homère».Vous dites «un peu» : en effet, la tâche est prométhéenne, mais vous êtes trop modeste, carvotre livre, «aussi solaire et profond que la Méditerranée», comme l'a écrit Rémi SOULIEdans le Figaro Magazine, y contribuera plus qu'on n'imagine.- Lutter contre toute tentative, d'où qu'elle vienne, visant à interdire ou seulement gêner lelibre exercice de la pensée. C'était la conclusion de « Qui est Dieu ? » et pour ce faire,«raviver le souvenir d'Athènes » et mettre ainsi en oeuvre - par le biais de l'esprit critique -le plus sûr moyen, sinon le seul, de faire échec aux extrémismes de tous bords.Il s'agit du même message et du même défi. La tâche est ardue, mais grâce à vos positionsclaires et courageuses, on ne pourra pas dire qu'on ne savait pas

Le Sourire d'Homère, by Jean Soler PDF
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